La petite flore s’offre comme un herbier poétique avec accompagnement pictural, aquarellé, tout à la fois naïf – laissant place au songe –, et précis – portrait de ces compagnes quotidiennes que sont pour P. Mathias les herbes. Nous y savourons, en la lisant, ce mélange d’humour et de tendresse, d’impertinence et de sagesse, sourcée d’une fine connaissance botanique – et parfois thérapeutique –, qu’il y mit en l’écrivant. Nous y aiguisons notre étonnement, voire notre perplexité, à l’aune des ch..
Afficher la 1 de 1 sur 1 (1 Pages)